Séminaire Hiboost 2025

En cette année de nos 10 ans, nous avons mis le cap sur Lisbonne pour notre séminaire du 23 au 25 juin 2025. Nous avons profité de 2 jours pleins sur place pour prendre le pouls de la ville, découvrir ses quartiers emblématiques et recharger les batteries de toute l’équipe.

Construite sur sept collines, la capitale portugaise offre à chaque coin de rue des panoramas à couper le souffle : la ville se découvre autant à pied qu’avec le regard levé. Ses ruelles en pente, ses escaliers interminables et ses belvédères (les fameux miradouros) façonnent une géographie unique, propice à la flânerie et à l’émerveillement.

Au détour de notre visite, nous avons eu l’occasion d’apercevoir les tramways jaunes emblématiques, dont le célèbre Tram 28, qui serpente entre les quartiers historiques sur des rails étroits, souvent en pente raide.

Et puis comme tout effort mérite récompense, nous avons pris plaisir à déguster des pastéis de nata, ces petites douceurs à la crème à peine caramélisées, servies tièdes avec une pincée de cannelle. On les trouve à tous les coins de rue, mais les plus emblématiques restent ceux de Belém !

Quelques moments forts de notre séjour :

Impossible de venir à Lisbonne sans explorer l’Alfama, ce quartier mythique, tout en ruelles étroites, linge aux balcons, et voix de fado qui résonnent entre les murs.

Nous avons eu la chance de le découvrir avec Jérémy, notre guide du jour — un Français expatrié à Lisbonne depuis plusieurs années, tombé sous le charme de l’histoire et la culture locale.

Avec lui, l’Alfama ne se visite pas, elle se raconte.

Il nous a guidés à travers ses dédales, ponctuant la balade d’anecdotes sur les traditions lisboètes : le tremblement de terre de 1755, la révolution des Œillets ou encore le quotidien des habitants de ce quartier populaire resté très vivant. On y a découvert les secrets de l’architecture locale, les origines du fado, et même quelques bonnes adresses cachées.

Une visite à la fois vivante, sportive et pleine d’humanité — à l’image de l’Alfama elle-même.
Merci Jérémy pour ce moment de transmission !

Autre moment marquant de notre séjour : une balade à vélo électrique guidée depuis le cœur de Lisbonne jusqu’au quartier emblématique de Belém.

Casque sur la tête, guidon en main, on a pris la direction de l’ouest en longeant le Tage, sur une piste cyclable agréable, bien loin de l’agitation du centre. Au fil de la balade : les docks réhabilités, les street arts XXL, et l’ombre imposante du Pont du 25 Avril, dont la structure métallique rouge évoque furieusement celle du Golden Gate.

Entre éclats de rire, mini-sprints sur les lignes droites et pauses photos improvisées, on a roulé jusqu’aux pieds de la Tour de Belém, fière sentinelle de pierre face au fleuve.

Un effort collectif, sous un soleil généreux, qui méritait bien une pause gourmande : direction Pastéis de Belém, pour une dégustation toujours aussi attendue (et méritée). À ce stade, chacun a sa technique : cannelle ou pas, croquée ou coupée… Mais sur une chose, l’équipe est unanime : les pastéis , c’est sacrément bon.

Difficile de passer par Lisbonne sans s’attaquer à la grande question existentielle des tables portugaises : poulpe grillé ou bacalhau ?

Entre les amateurs de bacalhau à Brás (parfois un peu trop salées il faut l’avouer) et les inconditionnels du poulpe tendre juste saisi à la plancha, chacun a trouvé son camp — avec un débat enflammé à la clé.

Ajoutez à cela quelques verres de vinho verde ou une super bock bien fraîche, une terrasse sur la ruelle animée, et vous obtenez l’un de ces petits moments suspendus qui font aussi le sel de ces séjours en équipe.

Spoiler : il reste encore des sceptiques… Et il va falloir qu’on y retourne pour trancher ?

De Lisbonne, on ramène bien sûr quelques souvenirs dans les valises, des jambes un peu courbaturées, et une plaisir partagé pour les pastéis de nata et la Super Bock…

Mais surtout, on revient reboostés, avec des idées plein la tête, une équipe encore plus soudée, et l’envie de continuer à avancer ensemble — avec le même esprit, la même exigence et peut-être un peu plus de soleil dans nos projets.

Et comme on dit là-bas : até breve ! Lisbonne, ce n’est qu’un au revoir.

Axel